100 % de loisirs

Publié le 28.09.2017 par Laurent Barloy - Chargé de recherche au CNRS
© Famille Barloy

Été comme hiver, Laurent Barloy fréquente Aussois en famille. Il s’y sent bien et suggère des améliorations à apporter.

« J’ai connu le Centre Paul-Langevin d’Aussois (CPL) grâce à ma femme, qui y allait en vacances dans les années 1970 lorsqu’elle était enfant. Depuis 1995, nous y séjournons avec nos trois enfants une fois par an, soit l’hiver, soit l’été. Je me sens bien quand je suis là-bas. Stéphane, le directeur, participe pour beaucoup au bon esprit qui y règne. Et il n’y a pas que le centre : le village est aussi très agréable. C’est le centre de vacances que j’ai le plus fréquenté. Il est vraiment adapté pour les familles et il y a une subvention assez notable du CAES.

Les guides constituent un grand atout du CPL, en particulier Gilles, leur responsable. En été, ils proposent des randonnées en montagne et l’hiver, même si nous skions en autonomie, nous apprécions de plus en plus les sorties à ski de fond et surtout en raquettes. Obligatoirement incluse dans le séjour, la pension complète constitue un autre avantage du centre. Pas besoin de faire les courses ou à manger : 100 % de loisirs. C’est très appréciable, car je manque souvent de temps dans ma vie quotidienne. En plus, la restauration est vraiment bonne. Nous avons aussi particulièrement aimé la nurserie quand les enfants étaient petits. Je n’apprendrai rien à ceux qui ont lu l’article sur sa directrice, Christine Montaz.

Il reste cependant des points à améliorer : le principal serait les chambres, notamment celles de la partie droite. Il serait souhaitable de prévoir une salle de bains par chambre. L’agencement est probablement à revoir, notamment le chauffage des années 1970 qui occasionne une perte de place. Il y a aussi un manque de prises de courant et le wifi de la réception n’est pas très bon. Les espaces communs (salle à manger, bar…), qui ont été refaits, sont beaucoup plus lumineux. De toute façon, quels que soient les travaux réalisés, une chose est sûre : nous continuerons d’aller à Aussois. »

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